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22 février 2008, 01:35

La sécurité est un objectif numéro 1 !

Les problèmes de la sécurité dans le sport automobile sont essentiels à résoudre. Pendant le contrôle technique les véhicules sportives sont subies aux quelques étapes d’inspection. Et lors de la course ce sont les assistances et le personel technique qui travaillent pour la sécurité.

L’agent humain, №1

La baja «Forêt du Nord» est un des  rally-raids peu nombreux qui peut se vanter par l’interception des secteurs spéciaux super solide, qui parfois a de l’avantage sur le rally classique.

Igor Kan, président de la Fédération Automobile de Saint-Pétersbourg : «Il y a 70-80 agents de milice, près de 20 chasseurs et environ 30 aviateurs- officiers qui participent à l’interception  de 85 km du parcours. Cela ne signifie pas que sur chaque 100 mètres du  trajet il y a un homme – la plupart recouvre les routes d’accès à un km du parcours.

L’interception est un fait assez embarassant pour les gens de l’endroit, d’autant plus que la course tombe sur le jour ferié, le 23 février. Les gens sont prévenus de cet événement il y a déja un mois et demie, mais certes, avec les 3 jours de fête, tout le monde voudra partir se reposer, alors que les routes seront coupées. Et surtout que le  trajet annuaire de rally-raids va être coupé pour toute une journée du 7h du matin à 7h du soir. Donc, on s’ est d’avance préparé aux accusations. Les gens sont differents, et, bien que la plupart estime le fait des compétitions, certains n’arrivent pas à s’adapter aux incommodités...

Vous savez, cette adrénaline que les sportifs  ont  pendant la course n’entre en aucune comparaison avec celle des organisateurs. Le sportif s’est mis au volant, a fait une aspiration, et après, à la fin du jour – une expiration. Et pour  nous,  des préparations de la couse, ça dure des semaines. Vous imaginez notre portion de l’adrénaline ?»

Agent technique, №2: IRITRACK  et SENTINEL – c’est quoi ?

Comment contrôler la location de l’auto sportif dans le désert, dans la forêt , dans les montagnes ? La distance des secteurs à vitesse en rally-raids peut être si grande, qu’il est parfois impossible de détecter une véhicule perdue ou tombée en panne, si on ne sait pas sa location précise à tout moment du temps, alors que les sportifs peuvent ne pas avoir la possibilité de communiquer leurs coordonnées. Après l’apparition du système de positionnement global GPS et du réseau téléphonique par satellite Iridium (les deux systèmes couvrent presque tout le territoire du globe), on a eu la possibilité d’apprendre une information  sur la location précise de l’automobile, de savoir si elle bouge ou pas, d’avoir  les signaux de détresse ou même avoir la communication avec l’équipage par une ligne téléphonique.

Le système le plus répandu dans le monde s’appelle IRITRACK. Il fonctionne d’après un principe très simple et par conséquence très sûr : le signal avec les coordonnées de la véhicule sur GPS est passé périodiquement à travers le canal de communication téléphonique, ce qui permet de non seulement définir la location de l’auto, mais aussi de contrôler la régularité du canal de communication. Sur l’écran de la direction des compétitions on peut suivre l’équipage pendant le parcours. En cas de la panne sérieuse, l’équipage  n’a que presser le bouton rouge pour signaler aux organisateurs de la course qu’il a besoin de l’aide. Le signal de détresse est transmis à la direction. Même si l’équipage ne bouge pas pendant longtemps, la direction a la possibilité de lui communiquer pour apprendre les causes de l’arrêt . Pour une communication  téléphonique il y a un bouton bleu sur le dispositif d’ IRITRACK, qui permet de mettre en marche la ligne vocale. Ce ne sont pas tous les fonctions de ce système. Il y a encore une possbilité (un bouton vert) de remettre à l’organisateur l’information sur l’équipage accidenté. En ce cas-là,  si l’équipage accidenté après avoir reçu l’aide nécessaire,  continue le parcours, le temps de son arrêt peut être soustrait du temps de son positionnement sur le trajet.

 Il existe encore un système de sécurité, dont l’action est basée sur l’avertissement des véhicules proches l’une de l’autre, par exemple pendant le dépassement ou l’éventualité de l’accrochage des autos dans les conditions de la mauvaise visibilité. Ce système, s’appellant SENTINEL, est capable de transmettre aux  courtes distances (jusqu’à 500mètres) le radiosignal avertissant, aussi que de mettre en marche un pharillon, qui se détecte bien dans l’obscurité. En cas du dépassement, l’équipage met le système en marche par un bouton, et la véhicule qui est en avant jusqu’à 150m reçoit un signal phonique, ainsi l’équipage comprend qu’il faut être plus prudent ou donner la route à celui avec la vitesse dépassante.

Si la véhicule s’est arrêtée dans un endroit dangereux (p.e. une dune de sable ou un méandre à une mauvaise visibilité) et il existe l’éventualité de l’accrochage, l’équipage doit mettre en marche le système d’avertissement par la pression simultanée de deux boutons «Alarm» , ce système  transmettra sans cesse le signal d’alarme et fera marcher un pharillon.

SENTINEL mémorise tous les signaux transmis et reçus, y compris l’information de celui, qui transmet le signal. Cette information ainsi que celle transmise par IRITRACK est très importante pour le contrôle de ce qui se passait sur le trajet et quelles actions ont été entreprises par les sportifs pour assurer la sécurité de la course.
 
Irina Boyarskaya, Alexandre Lesnikov

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